En raison notamment d'effets de change, le chiffre d'affaires a crû au deuxième trimestre, à 590 millions d'euros, contre 542 millions l'an dernier. Établi à 1,12 milliard, le chiffre d'affaires pour le premier semestre est environ 14 % supérieur à celui de l'année dernière. Le segment Packaging Solutions a connu une croissance particulièrement forte, bondissant d'un modeste 415 millions l'an dernier à 535 millions cette année.

La hausse du chiffre d'affaires a contribué à améliorer l'excédent brut d'exploitation (EBITDA) au deuxième trimestre, à 68 millions d'euros. L'EBITDA pour le semestre s'est établi à 104 millions d'euros. Le résultat net après impôts au bout des six premiers mois a progressé de 13 à 44 millions, et il est passé de 27 à 39 millions d'euros au deuxième trimestre. " Ce qui dépasse le niveau atteint pour l'ensemble de l'année écoulée ", dit Heidelberg.

Les commandes à un sommet

Les commandes ont continué d'affluer également au deuxième trimestre, pour un total d'environ 622 millions d'euros (+5 %), une tendance soutenue par les effets de change et par une forte demande en Europe centrale et en Amérique du Nord. Le niveau des commandes reçues pour le semestre a atteint 1,229 milliard d'euros, permettant au carnet de commandes de passer la barre du milliard d'euros pour la première fois depuis des années. " Ce carnet de commandes bien rempli et les résultats semestriels constituent une excellente assise pour atteindre les objectifs de l'année entière ", analyse Heidelberg. Le groupe s'attend toutefois à voir ses charges de personnel et ses coûts énergétiques s'alourdir au second semestre.

" Malgré un environnement difficile, nous sommes parvenus à surmonter les défis du premier semestre en poursuivant notre croissance. Nous restons malgré tout prudents, car la manière dont la situation mondiale va évoluer n'est pas encore tout à fait claire ", tempère le CEO, Ludwin Monz. " Au cours du premier semestre, Heidelberg a posé de bonnes bases pour atteindre ses objectifs financiers. Nous nous concentrons sur le maintien de nos chaînes d'approvisionnement, la sécurisation de notre marge à travers des prix de vente adaptés à la hausse et la poursuite de notre discipline budgétaire. "

En raison notamment d'effets de change, le chiffre d'affaires a crû au deuxième trimestre, à 590 millions d'euros, contre 542 millions l'an dernier. Établi à 1,12 milliard, le chiffre d'affaires pour le premier semestre est environ 14 % supérieur à celui de l'année dernière. Le segment Packaging Solutions a connu une croissance particulièrement forte, bondissant d'un modeste 415 millions l'an dernier à 535 millions cette année.La hausse du chiffre d'affaires a contribué à améliorer l'excédent brut d'exploitation (EBITDA) au deuxième trimestre, à 68 millions d'euros. L'EBITDA pour le semestre s'est établi à 104 millions d'euros. Le résultat net après impôts au bout des six premiers mois a progressé de 13 à 44 millions, et il est passé de 27 à 39 millions d'euros au deuxième trimestre. " Ce qui dépasse le niveau atteint pour l'ensemble de l'année écoulée ", dit Heidelberg.Les commandes ont continué d'affluer également au deuxième trimestre, pour un total d'environ 622 millions d'euros (+5 %), une tendance soutenue par les effets de change et par une forte demande en Europe centrale et en Amérique du Nord. Le niveau des commandes reçues pour le semestre a atteint 1,229 milliard d'euros, permettant au carnet de commandes de passer la barre du milliard d'euros pour la première fois depuis des années. " Ce carnet de commandes bien rempli et les résultats semestriels constituent une excellente assise pour atteindre les objectifs de l'année entière ", analyse Heidelberg. Le groupe s'attend toutefois à voir ses charges de personnel et ses coûts énergétiques s'alourdir au second semestre." Malgré un environnement difficile, nous sommes parvenus à surmonter les défis du premier semestre en poursuivant notre croissance. Nous restons malgré tout prudents, car la manière dont la situation mondiale va évoluer n'est pas encore tout à fait claire ", tempère le CEO, Ludwin Monz. " Au cours du premier semestre, Heidelberg a posé de bonnes bases pour atteindre ses objectifs financiers. Nous nous concentrons sur le maintien de nos chaînes d'approvisionnement, la sécurisation de notre marge à travers des prix de vente adaptés à la hausse et la poursuite de notre discipline budgétaire. "